Témoignage d'Adrien Cugnasse
J’ai fait une classe préparatoire
à l’Agro puis un DUT Génie
Biologique. A l’âge de 17 ans,
on m’a proposé de rédiger mon premier article.
J’ai ensuite occupé différents emplois dans la
filière tout en rédigeant des piges en parallèle pour
diverses publications. En 2011, j’ai été recruté par
le service événementiel de la Fédération Française
d’Equitation. Je l’ai quitté en 2014 pour intégrer la
rédaction du quotidien numérique Jour de Galop.
Je suis amené à suivre quotidiennement les courses
et les ventes de sélection à travers le monde. Je suis
approximativement 2 mois cumulés sur l’année en
déplacement, en France comme à l’étranger.
Je rédige des articles mais en tant que rédacteur en chef
adjoint, j’ai d’autres tâches comme la mise en place du
rétro planning des articles. Polyvalence et ouverture
d’esprit sont nécessaires. Savoir s’exprimer de manière
efficace et professionnelle, à l’oral comme à l’écrit, est
indispensable. Un bon niveau d’Anglais est exigé. Les
horaires sont conséquents. C’est un investissement
permanent, la semaine comme le week-end. Enfin, ce
qui plaît c’est l’originalité. Il faut surprendre le lecteur
et lui donner envie de lire !
En savoir plus :
Le mot du conseiller
Suivre une formation de journaliste est conseillé autant
que de se constituer un réseau dans la branche dans
laquelle on veut officier. Aucune expérience n’est exigée,
mais avoir réalisé des “piges” ou fait un stage dans la
presse est un atout. Un journaliste se spécialisera soit
dans le sport (équestre) soit dans les courses (hippique),
à noter que les débouchés sont faibles dans la filière
équine.