Témoigage de Dorothée Haye
Après le lycée, j’ai commencé à
travailler avec un entraîneur de
galop, j’avais un poste multifonction.
Puis pendant 7 ans, j’ai travaillé en tant que cavalière
d’entraînement. Ensuite, j’ai eu l’opportunité
d’être vacataire pour le Groupement Technique des
Hippodromes Parisiens (GTHP). Il y a 53 missions
au sein du GTHP, les plus importantes sont l’accueil
du public, le service balance, vétérinaire, vidéo. Je
m’occupe essentiellement de l’accueil des professionnels
ainsi que des interviews des cavaliers au poste de cheval
émetteur.
Il n’y a pas de journée type. Notre emploi du temps
et nos missions varient. Nous changeons de site et de
mission tous les jours en fonction des courses et des
besoins sur un hippodrome. Par exemple, nous allons
avoir une plus grosse journée pendant le prix de l’Arc
et de Diane. Pour les horaires, il faut être en place 4
heures avant le début des opérations. Et nous finissons
après la dernière course du jour.
Le mot du conseiller
Le bon déroulement d’une course nécessite l’intervention
de plusieurs corps de métier. En effet, chaque technicien
a une mission bien précise qu’il assure durant toute la
réunion. Il existe environ 230 hippodromes en France.
Il convient de distinguer ceux appartenant aux sociétés
mères (Le trot et France Galop) des hippodromes
indépendants. Les hippodromes des sociétés mères
mettent à contribution leur personnel pour l’organisation,
tandis que les hippodromes indépendants recrutent des
vacataires. En dehors des réunions, l’équipe permanente
assure l’entretien des pistes (arrosage, hersage, passage
du rouleau, bouchage des trous...), des bâtiments, des
écuries, ainsi que des abords de l’hippodrome.
Découvrez la fiche Equipédia