Témoignage de Camille Balagi
Après un DUT Techniques de commercialisation et une Licence de Droit, j’ai fait quelques petits boulots, des piges surtout. Cela a confirmé ma profonde appétence pour l’écriture et la communication. J’ai donc repris mes études en Bachelor en communication. Au bout de 15 jours de stage, j’ai été embauchée à Paris en tant que chef de projet par une agence en communication visuelle. J’y ai fait mes armes pendant 3 ans. Puis, j’ai été recrutée par un grand groupe de sellerie-harnachement basée à Bordeaux, ma région d’origine.
Je n’ai pas de journée type, c’est tout l’intérêt du métier. Je suis sollicitée sur énormément de projets définis en fonction des produits et des objectifs, en lien avec les équipes marketing et commerciale. Au programme : réalisation de visuels et de vidéos, animations des réseaux sociaux, relations presse et partenaires, gestion des présences sur les salons, toujours avec une finalité commerciale.
Il faut être très persévérant car c’est un métier qui demande beaucoup d’investissements et la filière cheval ne s’arrête pas les week-ends. Être curieux est essentiel : s’intéresser et s’inspirer des autres secteurs, ne pas s’enfermer dans l’univers équestre et élargir son champs culturel. Je suis moi-même passionnée par le sport et la performance. On a toujours à s’enrichir pour communiquer de façon plus innovante.
Podcast(1) Chargée de communication
Le mot du conseiller
Les jeunes diplômés sont souvent dépassés par la recherche d’emploi dans cet univers concurrentiel. Une bonne connaissance de la filière équine sera un atout pour se « distinguer ». La maîtrise de l’anglais sera souvent exigée au sein de la filière équine. Les cursus offrant une grande pratique du digital sont très appréciés, car ils répondent à une demande du marché qui est en constante évolution.