

Cavaliers professionnels : emploi, métiers et formation – 2014
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Près de la moitié des employeurs accorde de l’importance aux compétences administra-
tives, en comptabilité et communication. Ceci est à rapprocher de la notion d’autonomie
« générale » recherchée par les employeurs en matière de gestion d’équipe, d’organisation
de la saison sportive ou de suivi sanitaire des montures.
La maîtrise de l’anglais est un atout qui doit permettre aux cavaliers d’être des intermédiaires
efficaces lors des transactions de chevaux.
Enfin, il est possible de noter que plus de six employeurs sur dix, estiment nécessaire que les
cavaliers professionnels aient de solides compétences agricoles. Cette exigence est impor-
tante et reflète bien la polyvalence inhérente à cette profession.
valorisation des
chevaux de 3 à 6 ans
débourrage
concevoir un programme
de travail des chevaux
préparation aux ventes
entretien des écuries
techniques d’élevages
des juments
poulinage
insémination artificielle
pédagogie, enseignement
soins des chevaux
80 %
60 %
40 %
20 %
0 %
très autonome (capable
d’assurer seul les différentes tâches)
Niveau de responsabilité élevé
moyennement autonome (capable
d’assurer les différentes tâches
sous l’autorité d’un responsable
hiérarchique) Niveau de
responsabilité moyen
peu autonome
(encadrement permanent)
Niveau de responsabilité faible
non nécessaire à l’exercice
du métier
90 %
70 %
50 %
30 %
10 %
Figure 22 : Niveau d’autonomie demandé par tâches spécifiques