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Cahier spécial métiers et formations / équi-ressources
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Dresser et entraîner quotidiennement les chevaux sous la
responsabilité d’un entraîneur.
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Assurer l’entretien des litières, les soins et le pansage des
chevaux de course dont il a la responsabilité.
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Accompagner et/ou transporter éventuellement les
chevaux aux courses.
Missions
Formation
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CAP agricole lad-cavalier d’entraînement.
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BAC pro CGEH ou CGEA.
Compétences et qualités requises
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Excellente condition physique et sang froid.
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Matinal et ponctuel.
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Petite corpulence. Environ 50 kg pour le plat et jusqu’à 65
kg en obstacles.
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Adaptabilité aux horaires atypiques (travail tôt le matin et
retour en fin de journée pour “l’écurie du soir”).
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Capacité d’analyse et de réaction, ainsi que bonne
connaissance de l’animal, sont indispensables pour
exploiter pleinement le potentiel des chevaux de course.
Évolutions de poste
Le cavalier d’entraînement peut évoluer vers les métiers
de premier garçon, jockey (sous conditions de poids et de
résultats) et entraîneur. Les reconversions vers le sport,
l’élevage et les postes de techniciens d’hippodrome sont
envisageables car les connaissances du milieu des courses
sont appréciées et peuvent être valorisées.
Bon à savoir
STATUT : salarié
REMUNERATION : de 1 582€ et 1 694 € brut mensuel,
selon la convention collective. Les cavaliers d’entraînement
perçoivent également la prime d’écurie (1 % des gains
distribué au personnel d’écurie).
OFFRE D’EMPLOI SUR EQUI-RESSOURCES : 219 offres
d’emploi diffusées en moyenne par an depuis 2016 en France.
Cavalier/ère
d’entraînement (galop)
Mét iers des courses
Elodie Duchesne
Chaque matin, je me lève à 6 heure
pour me rendre aux écuries où je
monte les chevaux à l’entraînement
jusqu’à 13 heure. C’est tôt mais avec de tels horaires, j’ai
tous mes après-midi libres. Ces demi-journées
libres me permettent d’aller souvent à l’hippodrome
pour voir mes chevaux courir ou pour tout simplement
profiter de l’ambiance. C’est un endroit très convivial
où je retrouve des personnes que je connais.
En étant cavalier d’entraînement, je travaille
uniquement en extérieur, ce qui est à la fois agréable
et déplaisant. Quand il fait beau, c’est un plaisir (et
surtout moins ennuyeux que de rester assis dans un
bureau), mais lorsqu’il fait froid et qu’il pleut, c’est dur.
Si on est passionné, on supporte cette contrainte sans
difficulté.
Afin de se former correctement, un jeune doit choisir
un bon établissement pour son apprentissage. C’est en
tout cas là où j’ai le plus appris !
Conseil équi-ressources
Le cavalier d’entraînement a pour mission la sortie
quotidienne d’environ 4 à 5 chevaux par matinée. Ces
sorties ont pour objet le maintien et la mise en condition
optimum d’un cheval de courses à l’entraînement. Le
cavalier d’entraînement doit faire preuve de « sens
du cheval » pour savoir retranscrire à l’entraîneur ses
sensations à la piste, avoir un bon niveau à cheval et ne
pas avoir peur des sensations fortes. Il peut être amené
à assurer l’entretien des litières et aider aux soins des
chevaux.
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A Azzos / Ifce
Elle témoigne
DR
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