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Groom : un métier à reconnaître ?
La bonne humeur est souvent au rendez-vous même
dans les moments difficiles.
Il faut profiter des rares moments de tranquilité
pour se reposer.
À retenir
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Il existe 4 types de groom : groom maison, groom jeunes chevaux, groom international
et groom freelance.
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Des possibilités d’évolution existent : management, santé animale, élevage…
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Le métier de groom n’est pas reconnu statutairement par les institutions d’état (Pôle emploi,
Insee, MSA…).
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Ce métier est majoritaire exercée par des femmes (73% des candidats).
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Le réseau semble être le moyen principal pour recruter un groom.
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36 offres de groom ont été déposées en 2015 sur équi-ressources soit 2 % des offres totales.
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Le métier de groom connaît la plus forte augmentation de dépôt d’offre sur équi-ressources :
+119 %.
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55 % des offres sont localisées dans le grand nord-ouest de la France.
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Le secteur du saut d’obstacles est le plus gros employeur : 24 employeurs sur 31 en 2015.
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4 offres sur 10 n’ont pas abouti à un recrutement ces trois dernières années sur www.equires- sources.fr .ß
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Le CDI est majoritaire dans 68 % des cas.
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81 % des employeurs sont indifférents au niveau de formation mais 74 % accordent une impor-
tance au niveau d’expérience.
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Savoir parler une autre langue et posséder le permis poids lourd offrent au candidat une meil-
leure insertion.
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De nouvelles formations spécifiques ont vu le jour ces dernières années.
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Un piste à creuser : faut-il reconnaître le métier de groom ?