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Cahier spécial métiers et formations \ équi-ressources

15

`

Participer au débourrage, au dressage et à la préparation

physique des chevaux, à pied et montés.

`

Assurer les soins courants aux chevaux et veiller à leur état

de santé.

`

Assurer l’entretien des écuries, du harnachement, des

litières, ainsi que la propreté de l’établissement.

`

Participer à l’accueil des cavaliers et des propriétaires.

Missions

Formation

`

CAP agricole palefrenier soigneur.

`

Certificat de spécialisation éducation et travail des jeunes

équidés.

`

Bac pro CGEH.

`

BPJEPS Activités équestres.

Compétences et qualités requises

`

Bon niveau d’équitation.

`

Connaissances du travail et des soins aux chevaux.

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Qualités relationnelles.

`

Bonne condition physique.

`

Maîtrise des règles de sécurité.

Évolution de poste

Il peut évoluer vers lemétiers de groom, responsable d’écurie.

Avec un bon niveau d’équitation le cavalier maison pourra

devenir cavalier de concours. Il peut également poursuivre

vers le métier d’enseignant d’équitation en suivant une

formation.

Cavalier/ière

soigneur/euse

Mét iers du spor t et du loi s i r

Conseil équi-ressources

Les employeurs avouent avoir du mal à recruter du

personnel compétent à cheval. Le niveau équestre des

cavaliers maison est difficile à définir, car chaque écurie

a ses exigences en termes de compétences équestres. Un

galop 7 et une expérience en compétition sont cependant

des atouts pour décrocher le premier emploi. Par la

suite, le bouche-à-oreille aidera à progresser au sein des

écuries. Il sera demandé au cavalier soigneur une grande

polyvalence.

Bon à savoir

STATUT : salarié.

REMUNERATION : 1521 € brut mensuel, selon convention

collective

OFFRE D’EMPLOI SUR EQUI-RESSOURCES : 197 offres

d’emploi diffusées en moyenne par an depuis 2016 en France.

Solène Housset

J’ai d’abord passé un Bac

technologique sciences et

technologies de l’agronomie et du

vivant, puis dans la foulée un BPJEPS en apprentissage

au sein d’un centre équestre. Finalement, je n’ai pas

mis en pratique mon diplôme d’enseignante. J’ai

débuté en tant que cavalière au sein d’une écurie de

dressage, mais je n’y trouvais pas vraiment ma place.

J’ai décidé alors de m’orienter vers le CSO en intégrant

une écurie de concours en tant que cavalière-soigneuse.

Quotidiennement je travaille, longe et soigne les

chevaux. Je fais un peu d’entretien d’écuries, j’assiste

le maréchal-ferrant. Il peut m’arriver de groomer en

concours jeunes chevaux et nationaux. Je vais bientôt

débuter en tant que cavalière-soigneuse au sein d’une

écurie de commerce de chevaux. Cette expérience

me permettra de monter un maximum de chevaux

différents ce qui est parfait pour s’améliorer.

C’est évidemment un métier de passion mais, si vous

aimez les chevaux et les voir évoluer, vous n’aurez pas

l’impression de vous rendre « au travail » le matin.

Il faut tomber dans de bonnes « maisons » et ne pas

négliger les études car, en l’occurrence, je ne pense pas

exercer ce métier toute ma vie.

A Bassaler /Ifce

DR

A Laurioux / Ifce

Elle témoigne